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Le diagnostic technique immobilier fait parler de lui.

Dès 2008, l’UFC que choisir dénonçait abruptement la pratique de certains diagnostics immobiliers en observant des écarts de tarif incompréhensibles entre les experts immobiliers et selon les régions, plusieurs diagnostics apparemment peu transparents et approximatifs et des intelligences avec des agents immobiliers faisant la pluie et le beau temps que l’on imaginaient atténuant la réalité de biens immobiliers apparemment en mauvais état.

Malgré la réponse ouverte apportée par les experts et les réformes apportée par le gouvernement qui ont vu notamment l’interdiction de commissionnement entre les diagnostiqueurs immobiliers et les agents immobiliers, l’UFC que choisir se devait de frapper un grand coup.

Le 21 février 2011, un communiqué pourfendeur accusait le métier de pratiquer des DPE approximatifs. Cette étude concluait à de certains écarts d’interprétation invraisemblables concernant cette consommation énergétique en se basant seulement sur 4 habitations avec 16 professionnels immobiliers.

Et cette fois les diagnostiqueurs immobiliers n’auront pas l’exigence de se justifier. Une analyse étayée sur la le bilan énergétique vient de mettre à jour la notation de plus de 10.000 appartements et maisons.

Il en résulte 80 pour cent des propriétés figurent dans catégories D à F, soit les plus mauvaises et ainsi de ce fait que l’on ne peut pas accuser les professionnels de complaisance, bien au contraire. Pas la peine donc d’avoir fait un BTS CGO pour se rendre compte des erreurs commises par les agents immobiliers.

Il s’avère donc que c’est plus l’aspect obligatoire du diagnostic immobilier qui dérange et la multiplication des différents diagnostics techniques immobiliers devenus obligatoires en pas longtemps : examen Carrez, amiante, crep, diagnostic électrique, etc.

Pourtant, ce diagnostic immobilier se trouve être l’un des seuls dispositifs renforcé par le grenelle de l’environnement qui soit aujourd’hui à la hauteur des défis environnementaux de demain.

De plus, dans le cas du diagnostic termites, le rapport de diagnostic peut éviter une catastrophe juridique et patrimoniale pour l’acheteur.

Parions sur le fait que le métier arrivera par faire taire les plus pessimistes en accentuant la formation de ses membres et l’information des particuliers.

Dans le but d’en connaitre davantage sur le métier de technicien diagnostiqueur en diagnostic immobilier et sur l’expertise immobilière , rendez-vous sur http://www.diagnostic-experts.fr

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